Dans Final Fantasy

Arkh est un eidolon semblable à un vaisseau dans Final Fantasy IX. Il s'attaque à Djidane et son équipe à Euyevair au moment où ils obtiennent la Pierre Gulug pour Kuja. Plus tard dans le jeu, il faut trouver deux morceaux de Lapitas qui peuvent ensuite être forgées en Laputa par Pluton à sa boutique de synthèse dans Memoria. Le Laputa peut aussi être reçus en battant Gaïa, l'ennemi le plus puissant du jeu. La puissance des sorts de Ark est égal à 106, plus le nombre total de lapis dans l'inventaire du groupe. Son attaque est appelé : Destin Funeste.

Dans la mythologie grecque

Arke ou Arce était une fille de Thaumas et une soeur d'Iris. On l'affilie quelquefois au deuxième arc-en-ciel fané. On dit qu'elle a des ailes irisées, comparées aux ailes d'or d'Iris. Pendant la Titanomachie, elle a trahi les Dieux de l’Olympe et a rejoint les Titans. Quand les Olympiens ont gagné, Zeus a privé Arke de ses ailes et l'a jetée dans le Tartare avec les autres Titans vaincus. Les ailes d'Arke ont été plus tard données à Pelée et à Thétis comme cadeau le jour de leur mariage ; Thétis les a ensuite donné à son fils Achille qui en reçut le surnom de Podarcès, c’est-à-dire « qui a des ailes aux pieds ».

Différences

Les rapports avec l’invocation de FFIX ne s’arrêtent pas seulement au déploiement des ailes de l’eidolon lors de son attaque mais également au nom de cette dernière qui fait évidemment référence à la fin tragique de la déesse.

Dans la mythologie chrétienne

L’arche de Noé, d'après la Bible, est un navire construit sur l'ordre de Dieu afin de sauver Noé, sa famille et toutes les espèces animales d'un Déluge sur le point d'advenir. L'histoire figure dans le livre de la Genèse, du chapitre 6 au chapitre 9.

Différences

Cette fois seul l’aspect permet un rapprochement entre l’invocation et la référence mythologique. Néanmoins, on peut remarqué que c’est Dieu qui demande à Noé de fabriquer l’arche alors que c’est à Pluton (donc le dieu des Enfer) auquel le joueur va s’adresser pour fabriquer l’arme portant l’invocation.

Auteur : Stoz

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